En ces temps troublés pour les libraires, on ira voir Charles du Lucernaire, bon accueil et bons conseils garantis.
53, rue Notre-Dame-des-Champs
La déco sobre et chic se trouve chez Noir ébène. Ces beaux cadeaux, qui n’oublient pas d’être utiles, sont en nombre limité dans ce qui s’apparente à une caverne d’Ali Baba.
5, rue Bréa
La quin cave prépare ses magnums de vin et propose ses valeurs sûres à déguster entre amis.
17, rue Bréa
Du sucre, du chocolat.
—
Partagez cet article :
]]>Des jeux pour petits et grands, des classiques et un casse-tête bouteille qu’il faudra résoudre avant de pouvoir boire !
26, rue Vavin
Des cadeaux à faire aux animaux ou à leurs propriétaires. Pour chiens et chats.
26, rue Vavin
Offrir des chaussettes à Noël, ça se fait ! Sinon il reste les écharpes et les bonnets.
10, rue Vavin
Offrir du savon n’est pas forcément perçu comme un message, surtout si l’emballage est beau.
—
Partagez cet article :
]]>Dans le cadre de la fête de la Bretagne, le concours de la crêpe et de la galette la plus originale s’est tenue jeudi 23 mai 2013 près du métro Edgar Quinet. Dans une ambiance bon enfant, les crêpiers se sont confrontés les uns aux autres.
Sur la scène, au moment d’annoncer les résultats, le maire du 14e Pascal Cherki ne manque pas de rappeler que la meilleure baguette de Paris est fabriquée dans l’arrondissement. La crêpe la plus originale devra l’être aussi, mais c’est attendu vu que seuls les commerçants de la rue du Montparnasse ont participé à ce concours… organisé par son association de commerçants.
Pour contenter un jury composé, entre autres, de Pascal Cherki et d’élus bretons, chaque crêpier a sa stratégie. La crêperie de Pont-Aven prend le parti de proposer une crêpe déjà présente sur sa carte : « comme ça, si ça leur plait, ils pourront revenir en manger quand ils veulent » explique le patron en proposant une galette andouille, pomme cuite et camembert.
La crêperie Quimper au contraire choisit d’innover : pommes rissolées, andouille de Guémené, oignons de Roscoff et noix de saint-jacques poilées. Une galette crée pour l’occasion mais qui pourrait, disent-ils, être adaptée à la carte.
La crêperie La Bretonne tente sa chance avec une crêpe sucrée. Quelques minutes avant le passage, sa patronne goûte et vérifie encore, avec une pointe de gourmandise, la qualité de sa crêpe avec lit de chocolat blanc, pêche fraîche, coulis de groseille et de cassis du jardin, flambée avec un shoot de cointreau.
Noix de pétoncle, carottes de printemps, crevettes et langoustines, sauce curry maison à base d’épices de Thaïlande. La galette salée de Port Manech remporte la palme cette fois, mais il n’est pas encore question pour son patron Émmanuel de l’intégrer au menu : « Je rêverais de faire cette galette à la carte mais on n’est pas un restaurant gastronomique et je ne suis pas sûr que les clients la commanderaient ! » |
« Pomme caramélisée, glace à la vanille, amandes et beaucoup, beaucoup de chantilly. » Le dessert de la crêperie Le Phare est un choix gourmand si on en croit la description donnée par Pascal Cherki. Un bon point pour des crêpiers qui avaient décidé de proposer une crêpe déjà au menu. |
---|
« La mission Bretonne organisait des défilés pour la Saint-Yves qui se terminaient généralement à la mairie » rappelle Pascal Cherki. L’identité bretonne est forte, mais elle ne doit pas exclure pour autant les non-bretons. D’où l’idée du maire du 14e d’organiser cette CrêpesNoz, un nom qui n’aurait jamais été proposé par un vrai breton précise un Armoricain anonyme un peu taquin.
La gourmandise est fédératrice, tout comme la culture. Ainsi en grandissant, cette fête de la Bretagne a accueilli l’année dernière le musicien Alan Stivell et cette fois-ci Gilles Servat.
« Être Breton, c’est avoir une identité forte et être fier de ses racines, ce qui nous prépare à affronter l’avenir » raconte Kaourintine Hulaud, élue du conseil régional de Bretagne déléguée à la culture et aux sports. Également jury de cette CrêpesNoz, elle se dit « reconnaissante d’avoir pris le temps, les crêpiers font ça sérieusement, avec l’amour de bien faire une galette. » Des galettes aussi bonnes que celles qu’elle a pu goûter en Bretagne concède-t-elle avant d’ajouter en guise de clin d’œil « mais moins bonnes que celles de ma mère ! »
La fête s’achève samedi 25 mai dans la mairie du 14e par un grand fest-noz qui, lui au moins, ne risque pas d’être gâché par la pluie.
Photos et reportage : L. Malterre
—
Partagez cet article :
Ridha Khadher a emporté le prix de la meilleure baguette de Paris. Dans le même temps, il a gagné un gros client : l’Élysée qu’il livrera en pain pendant un an. Le boulanger savoure cette notoriété soudaine.
Avec fierté, il montre le reportage qui lui est consacré dans le journal télévisé de France 3 Île-de-France : « C’est la meilleure pub que je puisse imaginer ». Et les conséquences sur l’activité se sont faites tout de suite ressentir, au point qu’il a dû embaucher deux personnes supplémentaires.
Installé depuis quatre ans au 156, rue Raymond Losserand, Ridha Khadher avait participé une seule fois à ce concours avant cette année. Et il a bien failli abandonner ce jeudi 25 avril en voyant le monde se presser à la mairie de Paris. Mais il a tenu bon et après une heure de queue il a pu déposer sa baguette.
Goûtue, croustillante, la mie qui fond dans la bouche. Il faut reconnaître que la baguette tradition du Paradis du Gourmand est très bonne.
Ridha Khadher en profite pour trancher un éternel débat : la baguette est meilleure bien cuite.
Le soir même à 17h30 il recevait un coup de téléphone pour lui annoncer qu’il avait gagné le prix de la meilleure baguette de Paris : « je n’y croyais pas mais quand je suis arrivé à la boulangerie à 18h, il y avait déjà des journalistes et des caméras, c’est là que j’ai réalisé. »
Tout le monde s’est mis à parler de lui : « Le point, le Figaro, M6 et aussi des télés du Brésil, de l’Équateur. Un journaliste allemand vient demain. Et ceux qui sont restés le plus longtemps ce sont les Américains, CNN, ils se demandaient pourquoi la baguette avait un goût unique en France, qu’on ne retrouve pas ailleurs. »
Un joli coup de pub et une juste récompense pour un boulanger/pâtissier qui fabrique tout sur place, le pain comme les viennoiseries. Le genre de détails qui se savent à l’échelle d’un quartier et qui ont, désormais, acquis une renommée internationale.
156, rue Raymond Losserand dans le 14e arrondissement, à deux pas de la station de métro Plaisance (ligne 13).
]]>Le Point Fleurs pense notamment à ceux qui reçoivent en présentant ce centre de table chaleureux tout de rouge et de vert. Un composition unique, comme toutes les autres présentes dans ce magasin du n°24 de la rue.
De son côté, Nature (au niveau du n°45) propose des bouquets à apporter avec soi. Idéal pour les invités avec le rouge et le blanc qui rappellent les fêtes de noël.
—
Tout au long de la semaine, les commerçants de la rue Daguerre nous ont ouvert leurs portes pour proposer leurs idées cadeaux. La tâche était ardue tant les magasins en regorgeaient.
Retrouvez ci-dessous la liste des articles consacrés à la rue Daguerre :
]]>Foie gras, truffe noire et produits du Périgord, c’est le sud-ouest qui frappe à la porte. Valette fait dans le coffret cadeau.
Quel plat cuisiner le soir de noël ? La boucherie Borget répond « un chapon aux marrons ». Ici l’animal vient des Landes et coûte en moyenne 70 à 85€. En ce qui concerne les châtaignes, la boite est à 7,90€, ce sont des châtaignes entières naturelles qui, contrairement à celles plus bon marché, ne se désagrégeront pas à la cuisson.
Le dieu des vins pense à tout ce qui est en périphérie de l’alcool préféré des Français. Le repaire de Bacchus propose du classique champagne et du très à la mode whisky japonais.
Chez le Nicolas de la rue Daguerre, on ose les couleurs, de quoi digérer et déguster.
Pour le dessert, le Fournil Daguerre a ré-imaginé les très classiques bûches de noël. Bûche star, la Mont Blanc avec son cassis, sa vanille et sa meringue que vous trouverez au milieu des bûches à la pistache, à la framboise, à la vanille ou au chocolat (4,20€ la part). Plus original, les verrines avec notamment la Piña Colada du patissier au lait de coco, crémeux de chocolat noir et marinade d’ananas : 3,95€.
]]>Les draps, couettes et autres couvertures, le Rêve Blanc joue sur le plaisir d’être chez soi.
L’huile d’olive mène à tout, la PPP propose aussi de découvrir ses sucreries provençales (photo avec la complicité de Pacôme).
Le miel dans tous ses états, la Famille Mary pense dégustation mais aussi soins du corps.
Ici, tout doit être fait à la main et fabriqué en France. Cé pour vous fait le pari des petites créations originales.
Le prêt-à-porter de chez Haili-Paris, les créations chics sont à l’honneur.
Ambiance légèrement bohème chez Emarobe, le style d’hier remis au goût du jour.
Tous les goûts sont permis chez Triangle. La boutique propose un petit ensemble.
Auparavant uniquement consacrée à la laine, C’Tendance s’est diversifiée. Mais on n’oublie pas la pelote pour autant.
Tous les prix sont permis dans cette caverne d’ali-baba de la mode.
Le dépôt-vente Le repaire des filles s’adresse à tous les styles et toutes les bourses ; à condition d’aimer fouiller à la recherche de la perle rare.
]]>La gourmandise peut être bio et équitable. En prime, la Chocolatitude laisse une bonne place au produits de création française.
La bijouterie Bocca Lupo est une entreprise familiale. Elle propose trois idées cadeaux, de la paire de boucles d’oreilles en argent à la bague de fiançailles.
L’artisanat équitable de Sira Kura, c’est des étagères d’objets insolites et de qualité.
Le dépôt-vente Madame de se présente comme « Tendance ou vintage, impec’ mais pas cher. » Attention, les articles partent vite.
Le concept de cette boutique d’accessoires et de bijoux ?
Le bon goût du propriétaire. Voici ses suggestions :
—
Photo à la une : Kristina Servant/Flickr CC.
]]>Noël ne serait pas noël sans les enfants. Les cousins d’Alice est une caverne d’Ali Baba pour les petits.
La boutique BD de la rue propose trois univers pour trois générations.
Le thé, cette valeur sûre, se décline en plusieurs idées cadeaux à destination des spécialistes comme de ceux qui n’y connaissent rien.
L’association de commerçants Village Daguerre (à qui on doit notamment les illuminations et le vide-grenier) va faire venir le père noël en personne mercredi 19 et samedi 22 décembre. De 14h à 18h il parcourra la rue en musique et à la rencontre des enfants.
]]>