En plus de nos soirées concerts, danses du monde et scènes ouvertes, nous attirons votre attention sur deux événements incontournables :
– Projection du documentaire HOMESTRETCH dans le cadre du Festival International du Film des Droits de l’Homme >>> le 20.04.2015 à 20h
– Veillée de la résistance et journée Robert Desnos dans le cadre de la JOURNEE NATIONALE DE LA RESISTANCE >>> les 26 et 27.05.2015
]]>• Exposition Salon du Vieux Colombier, Marie du 6e
du 18 mars au 9 avril 2015
• Lectures et présentations de livres d’artistes
du jeudi 26 mars et jeudi 9 avril 2015
• Portes Ouvertes des Ateliers d’Artistes du 6e à Paris
les vendredi 20, samedi 21 et dimanche 22 mars 2015
de 14h00 à 20h00
Cela faisait 15 ans qu’une exposition majeure ne lui avait pas été consacrée à Paris. L’artiste américain Bruce Nauman réunit quelques unes de ses œuvres du 14 mars au 21 juin 2015 à la Fondation Cartier pour l’art contemporain.
Bien que peu nombreuses, les installations sont difficiles à dénombrer, elles se mêlent et se bousculent dans une exposition entre vidéos, sons et arts pastiques.
A l’étage, le visiteur est bien accueilli, un son d’un côté et une vidéo double de l’autre recherchent la plénitude, l’harmonie. En regardant ces crayons tenus à bouts de mines, on pense à la force qu’il faut exercer pour les tenir, mais aussi à leur inhérente fragilité : celle de leur mine qu’une pression trop forte pourrait briser.
Au sous-sol, l’ambiance est oppressante. A chaque pas dans l’escalier, le visiteur réalise que les bruits lointains sont des cris continus et assourdissants. La faute à une installation de six vidéos d’un homme en gros plan, hurlant des mots face caméra. Bien peu engageante, cette installation dégage parfois une harmonie insoupçonnée sans que l’on sache si elle est réelle ou si elle n’est que due à notre cerveau qui, par bienveillance ou instinct de survie, trouve du beau dans le chaos.
A côté, deux œuvres circulaires. L’une joue du temps en vidéo et projection, s’interrogeant sur sa relativité en mélangeant les lignes d’une horloge humaine. L’autre, peut-être la plus impressionnante, met en scène un manège qui semble tiré par des animaux jusqu’à ce qu’on réalise que c’est le manège qui tire des bêtes mortes.
La Fondation Cartier prouve une nouvelle fois que l’art contemporain n’est pas un art comme les autres, il n’est ni simple ni évident. Bruce Nauman, au contraire d’un Ron Mueck, ne fera certainement pas l’unanimité.
Créée en 1926, les Cent Une, seule société de bibliophilie exclusivement féminine, s’attache à propager le goût des beaux livres. Mais pourquoi Cent-Une ? Au cours d’un dîner, la princesse Schakhowskoy s’étonna auprès de son voisin membre des Cent Bibliophiles que les sociétés de bibliophilie fussent exclusivement masculines et piquée par le dédain de son interlocuteur, elle décida de faire mieux en créant une société féminine de cent un membres !
L’exposition Les Cent Une se tient jusqu’au 11 mars 2015 à la mairie du 6e arrondissement, dans le salon du Vieux Colombier.
Cette exposition propose une rétrospective des 46 livres publiés à ce jour : des textes de Giraudoux, Yourcenar, Tournier, Maalouf, Vian, Sagan, Stétié, illustrés par les plus grands artistes du moment : Laboureur, Daragnès, Derain, Lurçat, Trémois, Carzou, Masson, Dali, Weisbuch, Woda, Grall, Loustal, Viallat. Des œuvres réunies dans un beau livre.
]]>Exposition
Bálint Pörneczi : Figurák 15 janvier – 21 mars Institut hongrois | 92, rue Bonaparte 75006 Paris photo : Bálint Pörneczi : La série Figurák Bálint Pörneczi, jeune photographe d’origine hongroise s’est installé en France avec sa famille en 2011. Auparavant, il avait travaillé pendant plusieurs années comme reporter, puis comme rédacteur pour le journal et le magazine hongrois Magyar Nemzet. Il a réalisé des reportages au Kosovo, en Bosnie ou bien encore en Égypte, il a également travaillé comme pigiste pour l’AFP et collabore régulièrement avec l’agence de presse américaine Bloomberg. La série Figurák qu’il a commencée en 2013, est le fruit de son attirance pour le travail de grands portraitistes comme August Sander, Anton Corbijn ou Richard Avedon. Au cours de ses voyages et déplacements professionnels, il contemple le monde qui l’entoure, observe les passants, les aborde et parvient à capter leur sourire ou leur regard ; il réalise ainsi avec un iphone des portraits instantanés en noir et blanc qui respectent au maximum le cadrage original de la prise de vue. Il cherche à photographier les gens simplement, sans artifice, qu’ils soient connus ou parfaitement anonymes. Ses sujets sont tous traités de la même façon, et néanmoins, il est très attentif au rythme, à la diversité de la composition et à la variété du sujet. Parmi les personnages qu’il photographie en France et en Hongrie, figurent des personnes issues de couches sociales très diverses, depuis les PDG de grandes sociétés internationales jusqu’aux sans-abris. Entrée libre |
Exposition
Gyula Sopronyi : Floating aspect 15 janvier – 21 mars Institut hongrois | 92, rue Bonaparte 75006 Paris photo : Gyula Sopronyi : La série Floating aspect Les péniches constituent un décor tellement habituel des quais de la Seine que même le temps semble les avoir oubliées. Leur silhouette majestueuse et longiligne n’a guère changé depuis des siècles. Géantes imperturbables, lentes, intemporelles. Les images de Gyula Sopronyi nous font découvrir un univers à part où le grotesque côtoie la poésie. Entre le corps métallique des bateaux et la masse ondulante de l’eau, les objets les plus ordinaires perdent leur fonction initiale et se transforment en phénomènes qui nous intriguent. Né en 1974 à Budapest, Gyula Sopronyi est lauréat de plusieurs récompenses dont le prestigieux prix Rudolf Balogh. Ses photos ont été exposées à Bruxelles, à Istanbul, à New York et publiées dans des revues internationales telles que National Geographic ou Colors Magazine. En 2012, Gyula Sopronyi a bénéficié de la bourse André Kertész. La série Floating Aspect est le fruit de ce séjour parisien. Entrée libre |
Bonjour,
Dans cette nouvelle exposition au FIAP, François Beaujolin présente des travaux figuratifs évoquant des faits sociaux et une seconde série de peintures où l’abstraction laisse place à un imaginaire autour de l’éclat de la couleur. Josiane Chabel expose quelques bronzes et pierres; son oeuvre est message de liberté, de communication et de dialogue.
Exposition du 4 février au 1er mars 2015 tous les jours de 10h à 20h.
Vous trouverez en pièce jointe le communiqué de presse, une invitation au vernissage ainsi que le programme nos concerts, soirées danses du monde etscènes ouvertes.
Nous espérons que vous pourrez soutenir et diffuser l’événement.
L’équipe FIAP CultureS.
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INFOS+
FIAP Jean Monnet
30 rue Cabanis
75014 Paris
M° Glacière
Toute la programmation sur : www.fiap-cultures.fr
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Avenant, Etienne a accepté de répondre à nos questions avec le sourire. Le contraire eut été étonnant tant les œuvres de cet artiste dégagent une sérénité communicative. Les statues de bronze comme les esquisses sont arrondies, pleines de respirations. Malgré leur poids évident, les sculptures respirent la légèreté. Ce qui est beau est bon pour le cœur, voilà la démarche d’Etienne.
« Je témoigne des choses qui me réjouissent » raconte l’artiste. « Il est difficile d’être le témoin de l’espérance et pas de la misère » ajoute-t-il avant de dire son admiration pour Goya, « photographe avant l’heure » aux thèmes plus noirs. Mais ça démarche est autre : « j’essaye d’aider les autres, j’ai envie de communiquer, de communier avec ceux qui regardent mon travail, et partager avec eux le bonheur. »
La biennale permet à plus de 70 peintres, sculpteurs et plasticiens d’exposer leur travail dans l’enceinte de la mairie. Trois d’entre eux, Sophie Ceresa, Thomas Kondracki dit Ostoya et Paul-Bernard Sabourin, sont les lauréats des prix du jury 2012 et ont ainsi la possibilité d’exposer plusieurs œuvres dans une salle à part.
Les œuvres d’Etienne sont des visages, des instruments de musique, des oiseaux. Coulées dans le bronze, elles rendent puissants « l’amour, la bienveillance ». Épurées, elles sont des formes qui se touchent parfois à peine, pourtant l’esprit de l’observateur jurerait que ces lignes sont des formes, que ces vides sont remplis. Les sculptures d’Etienne racontent une histoire en n’en montrant que l’essentiel.
La biennale des artistes se déroule du 20 octobre au 10 novembre 2014 à la mairie du 6e arrondissement.
Les œuvres du sculpteur Etienne (site Internet) sont également visibles à l’extérieur sur les places Saint-Sulpice et Saint-Germain-des-Prés.
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Photos : Lucas Malterre.
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Des séries « récentes et inédites » seront présentées. L’occasion de découvrir les univers parfois magiques et fous de Victor Coucosh ou les explorations urbaines de Valérie Simonnet.
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Ce plasticien lui-même Hongrois vit en France depuis 40 ans. Anciennement parisien, il a longtemps trouvé son inspiration dans les allées du Père-Lachaise.
Son oeuvre, épurée, où se mêlent création et destruction, se présente sous forme de toiles et de reliefs sur bois.
Une visite guidée sera organisée à l’occasion de la nuit blanche le 4 octobre de 21h à 23h.
L’institut hongrois de Paris se situe à deux-pas de la mairie du 6e arrondissement, au 92, rue Bonaparte, 75006 Paris.
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